« Ange agenouillé », étude pour Mater Dolorosa
Thomas Couture (Senlis, 1815 – Villiers-le-Bel, 1879)

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« Ange agenouillé », étude pour Mater Dolorosa

Thomas Couture (Senlis, 1815 – Villiers-le-Bel, 1879)

xix^e siècle
Huile sur toile
H. 0,76 ; L. 0,59 m

C.71.012

Musées du Second Empire

Inscription

M.b.d. : T.C.

Historique

Camille Grodet-Moatti. Don avec réserve d’usufruit en 1971. Entré au château de Compiègne le 19 août 1976.

Commentaire

Esquisse pour l’ange de gauche de la chapelle de la Vierge à l’église Saint-Eustache à Paris, figurant La Vierge triomphante entourée par les anges, peinte en 1851. Deux autres compositions ont été exécutées par Couture dans cette chapelle : La Vierge, consolatrice des affligés et La Vierge, étoile des marins¹1. Voir Bruno Foucart, Le Renouveau de la peinture religieuse en France (1800-1860), Paris, Arthena, 1987, p. 272-273, repr. fig. 260..

Auteur du commentaire : Jacques Kuhnmunch

1. Voir Bruno Foucart, Le Renouveau de la peinture religieuse en France (1800-1860), Paris, Arthena, 1987, p. 272-273, repr. fig. 260.

Bibliographie

Georges Bertauts-Couture, « Thomas Couture, sa technique et son influence sur la peinture française de la seconde moitié du xix^e siècle », Études d’art, n^o 11-12, 1955-1956, p. 158-212, p. 206.

Marie-Jeanne Grosset-Clergeau, Les Peintures de Thomas Couture demeurées dans les collections publiques françaises, Paris, thèse, université Paris IV, 1987, n^o 39, p. 126.

Laure Chabanne, Gilles Grandjean, « Le fonds Thomas Couture au palais de Compiègne », dans Thomas Couture, romantique malgré lui [catalogue publié dans le cadre de six expositions organisées pour le bicentenaire de la naissance de l’artiste, Amiens, musée de Picardie ; Beauvais, MUDO-musée de l’Oise ; Compiègne, musée Vivenel ; Compiègne, palais de Compiègne ; aris, musée de la Vie romantique ; Senlis, musée d’Art et d’Archéologie], Paris, Gourcuff Gradenigo, 2015, p. 89-99, p. 93.

Bénédicte Pradié-Ottinger, « Le décor de la chapelle de la Vierge à l’église Saint-Eustache » [texte publié dans le Bulletin de la société de l’histoire de l’art français, 2008-2009, p. 237-254], dans Thomas Couture, romantique malgré lui [catalogue publié dans le cadre de six expositions organisées pour le bicentenaire de la naissance de l’artiste, Amiens, musée de Picardie ; Beauvais, MUDO-musée de l’Oise ; Compiègne, musée Vivenel ; Compiègne, palais de Compiègne ; Paris, musée de la Vie romantique ; Senlis, musée d’Art et d’Archéologie], Paris, Gourcuff Gradenigo, 2015, p. 21-37, repr. p. 20, ill. 1.

Expositions

Exposition des œuvres de Thomas Couture, Paris, galerie Georges Levesque, juin-juillet 1913, n^o 53.

Thomas Couture : la fabrique des grands formats, Amiens, musée de Picardie, 16 octobre 2015 – 21 février 2016 (voir cat. exp. Thomas Couture, romantique malgré lui, Paris, Gourcuff Gradenigo, 2015).

Index

Genre :
Peinture d’histoire → Peinture religieuse
Études, études préparatoires

Index iconographique :
Ange ; drapé

Cette œuvre appartient à l’ensemble :
Thomas Couture

Copyrights

Étapes de publication :
2020-06-15, publication initiale de la notice rédigée par Jacques Kuhnmunch

Pour citer cet article :
Jacques Kuhnmunch, « Ange agenouillé », étude pour Mater Dolorosa, dans Catalogue des peintures du château de Compiègne, mis en ligne le 2020-06-15
https://www.compiegne-peintures.fr/notice/notice.php?id=385

« Ange agenouillé », étude pour Mater Dolorosa
Thomas Couture (Senlis, 1815 – Villiers-le-Bel, 1879)

« Ange agenouillé », étude pour Mater Dolorosa

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