Jacques Kuhnmunch, Laure Chabanne & Étienne Guibert
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Index iconographique = architecture
Attribué à Francesco Albotto (Venise, 1721 – Venise, 1757)

Cette veduta, vue topographique du grand canal, met en valeur un des plus anciens palais de la ville, ayant appartenu à la famille Pessaro et devenu siège du comptoir des marchands turcs en 1621. Le peintre Michele Marieschi (1710-1743) a représenté à de nombreuses reprises cette vue du monument, très appréciée des amateurs et voyageurs. Mais c’est à son élève Francesco Albotto (1721-1757) que Anna Kowalczyk attribue ce tableau. En épousant la veuve du maître et en poursuivant…

Sébastien Leclerc (Paris, 1676 – Paris, 1763)

Formé par Bon Boullogne (1649-1717), peintre quelque peu oublié aujourd’hui mais qui eut un atelier particulièrement florissant, Sébastien Leclerc fut reçu à l’Académie en 1704 avec La Déification d’Énée conservée au musée des Beaux-Arts de Tours. Les sujets peints par cet artiste sont parfois inspirés par le théâtre et la tragédie comme dans le tableau Orosmane et Zaïre, d’après Voltaire, du musée Magnin à Dijon1. L’opéra d’Armide est la dernière tragédie en cinq actes terminée…

Gerrit Adriaenszoon Berckheyde (Haarlem, 1638 – Haarlem, 1698)

Attribuée avant restauration à Jan van der Heyden, spécialiste des paysages urbains, cette composition que l’on peut dater des années 1690 regroupe plusieurs constructions difficilement identifiables, à l’exception de l’église de droite, Saint-Martin de Bonn, sans doute vue par l’artiste lors de son séjour en Rhénanie entre 1650 et 1653.

Jacques Guiaud (Chambéry, 1811 – Paris, 1876)

Né en Savoie, Jacques Guiaud va faire pratiquement toute sa carrière à Nice dans une région qui ne sera rattachée à la France qu’en 1860. Sa formation s’effectue auprès de Louis Watelet (1780-1866) et de Léon Cogniet (1794-1880) qui lui enseignent l’art de peindre sur le motif et le goût pour les compositions architecturales. En 1834, il reçoit une première commande officielle pour Versailles et peint des scènes à la gloire de Napoléon Ier. Guiaud expose régulièrement aux Salons…

Hubert Robert (Cologne, 1797 – Paris, 1890)

Le jeune Hubert Robert part à Rome en 1754 dans la suite du comte de Stainville (1719-1785), futur duc de Choiseul et ambassadeur de France dans cette ville. Il reste dix ans à Rome tout en découvrant Naples et sa région en compagnie de l’abbé de Saint-Non (1727-1791) ou la villa d’Este avec Fragonard (1732-1806). À Rome, la fréquentation et l’amitié de Giovanni Battista Piranesi (1720-1778), lui aussi passionné par l’Antiquité, vont profondément le marquer. L’influence de cet…

Thomas Couture (Senlis, 1815 – Villiers-le-Bel, 1879)

Il existe deux études peintes relatives au décor du pavillon Denon au Louvre, celle du musée de Senlis (INV. 00.6.651) et celle de Compiègne. En 1856, Thomas Couture fit des projets pour la décoration de deux salles du nouveau Louvre, la salle des États et la salle Denon. Cependant, l’artiste ne les conduisit pas à leur terme. Ce fut Charles Louis Lucien Muller qui exécuta finalement ces peintures monumentales.

Le décor de la salle Denon est ainsi composé : à la partie inférieure,…

Tapisserie correspondante conservée à Aix-en-Provence, musée des Tapisseries. Partie droite de la tapisserie d’ensemble du Départ de Sancho pour l’île de Barataria (INV. 11-15).

Charles Natoire (Nîmes, 1700 – Castel Gandolfo, 1777)

Tapisserie correspondante conservée à Aix-en-Provence, musée des Tapisseries (INV. 11-15).

Léon François Antoine Fleury (Paris, 1804 – Paris, 1858)

Fils du peintre Antoine Claude Fleury (1743-1822), Léon François entre à l’École des beaux-arts en 1821 dans l’atelier de Louis Hersent (1777-1860), puis dans celui de Jean-Victor Bertin (1767-1842). Parti à Rome dans les années 1827-1829, il dessine et peint avec son ami Corot (1796-1875) des scènes de la vie et de la campagne romaines. De retour en France, Fleury expose surtout aux Salons des paysages composés d’après des études prises sur le vif lors de ses nombreux voyages…

Malgré les origines ligures dont témoigne son surnom Il Genovesino, Luigi Miradori a exercé son activité d’abord à Plaisance puis à Crémone. Son style très complexe évolue entre un naturalisme proche de l’art espagnol et un goût marqué pour un baroque teinté de caravagisme, pour preuve les anges voletant et le traitement de l’espace.

L’iconographie de cette peinture renvoie à Felice Porri, dit Félix de Cantalie. Né vers 1515 à Cantalice (Latium), il prend l’habit en 1545 et entre…